BOMBARDIER Jean, Marie
Né le 21 novembre 1924 à Château-Regnault-Bogny (Ardennes), mort en action le 8 avril 1944 à Montanges (Ain) ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI)
Jean Bombardier était le fils de Auguste François et de Élisa Albertine Idalie Chalumeau. Il était célibataire et domicilié à Serrouville (Meurthe-et-Moselle). Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’intérieur (F.F.I.) dans le groupe du lieutenant de Vanssay dit “Minet”.
Le 8 avril 1944 dès les premières heures, le groupe partit de Buclaloup (Ain) dans la neige avec mission de dynamiter le tunnel de la Crotte à Trébillet, commune de Châtillon-de-Michaille (Ain). À peine arrivé sur place le groupe tomba dans une embuscade. Les Allemands sans doute informés les attendaient. Le lieutenant de Vanssay et dix de ses hommes furent tués. Jean Bombardier décéda au lieu-dit “Etraz” à une heure non précisée.
Le 8 avril 1944 dès les premières heures, le groupe partit de Buclaloup (Ain) dans la neige avec mission de dynamiter le tunnel de la Crotte à Trébillet, commune de Châtillon-de-Michaille (Ain). À peine arrivé sur place le groupe tomba dans une embuscade. Les Allemands sans doute informés les attendaient. Le lieutenant de Vanssay et dix de ses hommes furent tués. Jean Bombardier décéda au lieu-dit “Etraz” à une heure non précisée.
Il ne put être identifié immédiatement et l’acte de décès fut dressé le 20 juin 1944 sur la déclaration de Jean Gallezot, 33 ans, gendarme à Châtillon-de-Michaille qui a attesté le reconnaître d’après sa carte et ses papiers d’identité comme étant inscrit sous le n° 7 dans l’acte de décès n° 4 en date du neuf avril 1944 concernant dix inconnus.
Il est inhumé dans le carré militaire du cimetière communal tombe 5, à Montanges (Ain).
Il obtint la mention « Mort pour la France » sur décision du ministère des Anciens combattants et victimes de guerre en date du 24 avril 1946. Le dossier du SHD Vincennes GR 16 P 69258 ne mentionne pas l’homologation aux FFI.
Son nom figure sur le monument commémoratif FFI, à Montanges (Ain).
Il est inhumé dans le carré militaire du cimetière communal tombe 5, à Montanges (Ain).
Il obtint la mention « Mort pour la France » sur décision du ministère des Anciens combattants et victimes de guerre en date du 24 avril 1946. Le dossier du SHD Vincennes GR 16 P 69258 ne mentionne pas l’homologation aux FFI.
Son nom figure sur le monument commémoratif FFI, à Montanges (Ain).